Le Blog du Voyage
Illusions : Le Messie Récalcitrant (RICHARD BACH)
Auteur : Richard Bach
Traducteur : Guy Casaril
Précédente lecture : Première lecture
Nombre de Pages : 157 Pages
Début de la lecture : 10 Novembre 2007
Fin de la lecture : 13 novembre 2007
Quatrième de Couverture :
Quand, sur une verte prairie de l'Illinois, Richard - pilote de tourisme à trois dollars les deux minutes de balade - se pose à côté d'un Traveil Air 4000, il est curieux de savoir qui tient le manche de ce vieux zinc. Un "saltimbanque de l'air" comme lui, sans doute.
Pas tout à fait. Certes Donald est bien un pilote, mais avec ces cheveux aux épaules, ce regard sombre et ce drôle de halo doré autour de lui, il n'a pas du tout l'air d'un "pro"!
Et c'est vrai, dans le passé, Donald s'est découvert d'etonnants pouvoirs de guérisseur, de maître à penser - à qui les foules demandaient toujours plus. Trop !
Alors, le récalcitrant jeune homme a fui.
Son "message est tout autre et il le révélera à Richard. Non pas en doctes leçons mais au fil d'aventures cocasses et inatendues...
Pas tout à fait. Certes Donald est bien un pilote, mais avec ces cheveux aux épaules, ce regard sombre et ce drôle de halo doré autour de lui, il n'a pas du tout l'air d'un "pro"!
Et c'est vrai, dans le passé, Donald s'est découvert d'etonnants pouvoirs de guérisseur, de maître à penser - à qui les foules demandaient toujours plus. Trop !
Alors, le récalcitrant jeune homme a fui.
Son "message est tout autre et il le révélera à Richard. Non pas en doctes leçons mais au fil d'aventures cocasses et inatendues...
- Commentaires textes : Écrire
Roméo and Juliet - Dire Straits
10 Novembre 2007
à 14h36
à 14h36
Situation : Sur mon fauteuil, devant mon bureau, la fenêtre ouverte
Pages : Chapitre 1
Son entendu en lisant : Dire Straits - Sultans of swing
Ce soir, cela fera la quatrième fois que j'ouvrirai ces premières pages. Il est 19h34 et j'attend assis dans un arrêt de bus que le 91.09 vienne me chercher. Il fait froid.
Je relis pour commencer les quelques phrases que j'ai noté sur mon carnet cet après midi, ces phrases qui pour moi veulent dire quelques choses, sans que je ne saches très bien quoi encore. J'écoute un peu les voitures qui passent, elles m'aident à faire défiler les mots sur le papier.
Qu'ont-elles ces phrases que tant d'autres non pas ? ces phrases sont-elles simplement belles et me touchent-elles pour cela ?
Je ne le crois pas.
Ces phrases semblent en fait me dire :
" Peut-être y a-t-il dans ces aventures, quelques choses dont vous avez besoin de vous souvenir. "
-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-
J'avoue ne pas savoir comment raviver ces souvenirs alors que ma motivation depuis le début de l'année se résume de plus en plus à lire et à parler peu. Et plus je lis, plus j'ai l'impression de m'éloigner de ces souvenirs, de grandir encore et encore, de m'envoler encore plus haut. Alors quels sont les souvenirs de ma vie - de mes vies - qui reviendront, et pourquoi ?
Ce serait comme si, en grandissant encore et encore pour échapper - ou accepter - son passé, la vie nous rappelait que notre vie est meilleure, mais toujours par rapport à un autre moment passé de notre vie. Et que sans cesse, il restera toujours quelque chose qui nous ramènera à ces moments que nous avons vécus.
Ces souvenirs...
Ceux là qui nous permettent de grandir...
C'est surement pour cela que j'écris. Pour me souvenir, et exprimer ce qu'il reste à exprimer.
" Il restait quelque chose à dire et je ne l'avait pas dit. "
" Je ne te lacherai pas tant que tu ne m'auras pas mis en mots, sur du papier. "
-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-
J'écris alors quelques mots en ne sachant pas très bien ou me méneront mes pensées, et qui m'y accompagnera. Qui est mon Messie récalcitrant, qui me montrera aussi ce que je dois savoir, sur moi même ? L'ai-je déjà trouvé, ou attend-il que je l'appelle ?
"S'il arrivait quelqu'un qui sache vraiment faire évaporer les nuages .
Qui puisse m'apprendre comment fonctionne mon monde, et comment le maîtriser ?
Que dirait-il ?
De quoi aurait-il l'air ? "
Peut-être n'attend-il pas, car il est déjà auprès de moi. A travers mes choix, mes désirs, mes rèves, alors peut-être qu'il ne s'agit que de cette flamme que nous avons tous dans le coeur, et qui brille, plus ou moins. Alors ce " Messie récalcitrant ", ne serait-ce pas mon reflet, mon sourire, et mon coeur ?
-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-
Je finirais ce premier article, en écrivant simplement un dialogue du premier chapitre qui, à lui seul dit tant de chose. Posez-vous, vous même cette question, comme je me l'a suis posé ? Demandez-vous ce qui vous empèche d'être heureux ?
N'est-ce pas vous même ?
Qui ne faites pas de choix, n'écoutez pas vos désirs, et vos rêves.
Qui ne voyez ni le reflet de votre âme, ni de votre sourire,
Qui n'entendez pas le tintement de votre coeur.
" - Si un homme disait à Dieu qu'il désire plus que tout aider le monde souffrant, quel qu'en soit le prix pour lui-même, et si Dieu lui répondait et lui disait ce qu'il doit faire, cet homme devrait-il faire ce qui lui a été dit ?
- Bien sûr Maître ! cria la foule. Ce devrait être un plaisir pour lui de souffrir toutes les tortures de l'enfer même, Dieu l'ayant demandé.
- Quelles que soient ces tortures? Quelle que soit la difficulté de la tâche ?
- Quel honneur d'être pendu ! Quelle gloire d'être cloué à un arbre et brûlé si c'est là ce que Dieu a demandé, disait-ils.
- Et que feriez-vous, dit le Maître à la multitude, si Dieu vous parlait droit dans les yeux et disait :
JE VOUS COMMANDE D'ETRE HEUREUX DANS LE MONDE AUSSI LONGTEMPS QUE VOUS VIVREZ,
que feriez-vous dans ce cas ?
Et la multitude demeura silencieuse, pas une voix, pas un son ne s'éleva des pentes des collines, par dessus les vallées où elle se tenait.
Et le Maître dit au silence :
- C'est en suivant le chemin de notre bonheur que nous recevons l'enseignement pour lequel nous avons choisi cette vie. Voilà ce que j'ai appris en ce jour, et j'ai choisi de vous laisser maintenant, pour que vous marchiez sur votre propore voie, selon ce qu'il vous plaira."
Je relis pour commencer les quelques phrases que j'ai noté sur mon carnet cet après midi, ces phrases qui pour moi veulent dire quelques choses, sans que je ne saches très bien quoi encore. J'écoute un peu les voitures qui passent, elles m'aident à faire défiler les mots sur le papier.
Qu'ont-elles ces phrases que tant d'autres non pas ? ces phrases sont-elles simplement belles et me touchent-elles pour cela ?
Je ne le crois pas.
Ces phrases semblent en fait me dire :
" Peut-être y a-t-il dans ces aventures, quelques choses dont vous avez besoin de vous souvenir. "
-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-
J'avoue ne pas savoir comment raviver ces souvenirs alors que ma motivation depuis le début de l'année se résume de plus en plus à lire et à parler peu. Et plus je lis, plus j'ai l'impression de m'éloigner de ces souvenirs, de grandir encore et encore, de m'envoler encore plus haut. Alors quels sont les souvenirs de ma vie - de mes vies - qui reviendront, et pourquoi ?
Ce serait comme si, en grandissant encore et encore pour échapper - ou accepter - son passé, la vie nous rappelait que notre vie est meilleure, mais toujours par rapport à un autre moment passé de notre vie. Et que sans cesse, il restera toujours quelque chose qui nous ramènera à ces moments que nous avons vécus.
Ces souvenirs...
Ceux là qui nous permettent de grandir...
C'est surement pour cela que j'écris. Pour me souvenir, et exprimer ce qu'il reste à exprimer.
" Il restait quelque chose à dire et je ne l'avait pas dit. "
" Je ne te lacherai pas tant que tu ne m'auras pas mis en mots, sur du papier. "
-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-
J'écris alors quelques mots en ne sachant pas très bien ou me méneront mes pensées, et qui m'y accompagnera. Qui est mon Messie récalcitrant, qui me montrera aussi ce que je dois savoir, sur moi même ? L'ai-je déjà trouvé, ou attend-il que je l'appelle ?
"S'il arrivait quelqu'un qui sache vraiment faire évaporer les nuages .
Qui puisse m'apprendre comment fonctionne mon monde, et comment le maîtriser ?
Que dirait-il ?
De quoi aurait-il l'air ? "
Peut-être n'attend-il pas, car il est déjà auprès de moi. A travers mes choix, mes désirs, mes rèves, alors peut-être qu'il ne s'agit que de cette flamme que nous avons tous dans le coeur, et qui brille, plus ou moins. Alors ce " Messie récalcitrant ", ne serait-ce pas mon reflet, mon sourire, et mon coeur ?
-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-
Je finirais ce premier article, en écrivant simplement un dialogue du premier chapitre qui, à lui seul dit tant de chose. Posez-vous, vous même cette question, comme je me l'a suis posé ? Demandez-vous ce qui vous empèche d'être heureux ?
N'est-ce pas vous même ?
Qui ne faites pas de choix, n'écoutez pas vos désirs, et vos rêves.
Qui ne voyez ni le reflet de votre âme, ni de votre sourire,
Qui n'entendez pas le tintement de votre coeur.
" - Si un homme disait à Dieu qu'il désire plus que tout aider le monde souffrant, quel qu'en soit le prix pour lui-même, et si Dieu lui répondait et lui disait ce qu'il doit faire, cet homme devrait-il faire ce qui lui a été dit ?
- Bien sûr Maître ! cria la foule. Ce devrait être un plaisir pour lui de souffrir toutes les tortures de l'enfer même, Dieu l'ayant demandé.
- Quelles que soient ces tortures? Quelle que soit la difficulté de la tâche ?
- Quel honneur d'être pendu ! Quelle gloire d'être cloué à un arbre et brûlé si c'est là ce que Dieu a demandé, disait-ils.
- Et que feriez-vous, dit le Maître à la multitude, si Dieu vous parlait droit dans les yeux et disait :
JE VOUS COMMANDE D'ETRE HEUREUX DANS LE MONDE AUSSI LONGTEMPS QUE VOUS VIVREZ,
que feriez-vous dans ce cas ?
Et la multitude demeura silencieuse, pas une voix, pas un son ne s'éleva des pentes des collines, par dessus les vallées où elle se tenait.
Et le Maître dit au silence :
- C'est en suivant le chemin de notre bonheur que nous recevons l'enseignement pour lequel nous avons choisi cette vie. Voilà ce que j'ai appris en ce jour, et j'ai choisi de vous laisser maintenant, pour que vous marchiez sur votre propore voie, selon ce qu'il vous plaira."
Ta volonté sois faite, non la mienne...
...
- Commentaires textes : Écrire
11 Novembre 2007
à 18h04
à 18h04
Situation : Dans mon bain (un peu trop chaud d'ailleurs)
Pages : 25 à 45
Son entendu en lisant : Le bruit de l'eau
Le précédent article était assez particulier. Le premier chapitre du " Messie Récalcitrant " est très riche et j'aurai pu le réécrire en entier afin d'en parler d'avantage. Mais je n'ai choisi que quelques morceaux. C'est pour cela que j'ai décidé de lui consacré une partie entière.
Quelques passages sont ainsi, plus important que d'autres.
Je me relance en tout cas en ouvrant de nouvelles pages, et vous livre les sentiments que j'en ai ressorti. Pour tout vous dire, c'est un dialogue qui m'a le plus touché, parlé,interrogé en fait.
Quelques passages sont ainsi, plus important que d'autres.
Je me relance en tout cas en ouvrant de nouvelles pages, et vous livre les sentiments que j'en ai ressorti. Pour tout vous dire, c'est un dialogue qui m'a le plus touché, parlé,interrogé en fait.
" - Où va-t-on aujourd'hui ? demandai-je
- Je ne sais pas, répondit-il. Je ne sais pas où nous sommes conduits.
- Que-est-ce que tu racontes ? Tu connais le passé et l'avenir de toutes les choses. Tu sais exactement où on va...
Il soupira.
- Ouai. Mais j'essaie de ne pas y penser. "
- Je ne sais pas, répondit-il. Je ne sais pas où nous sommes conduits.
- Que-est-ce que tu racontes ? Tu connais le passé et l'avenir de toutes les choses. Tu sais exactement où on va...
Il soupira.
- Ouai. Mais j'essaie de ne pas y penser. "
Je me suis alors arrêter à cette page en me demandant ce qu'il en serait pour moi, si je connaissais le passé et l'avenir de toute chose. Nous avons tous pensée une fois, que si nous pouvions voir ce que nous réservais l'avenir, nous garderions espoir. Nous avons tous réver une fois, au moins, de connaître l'avenir, de savoir ce que nous réservait ce flux de temps, qu'aucun d'entre nous ne peut contrôler. Et si cela n'est pas possible, si la vie ne nous le permet pas, n'est ce pas simplement car, simple humain que nous sommes, nous ne serions plus capable de "choisir", "d'avancer", de "grandir", en voyant ce que sera notre fin ?
Je ne sais pas, si il m'était possible de voir de quoi serait fait mon avenir, ce que je préfèrerai y voir.
Voudrai-je y voir quelqu'un de seul, pauvre et malheureux,
Voudrais-je y voir quelqu'un d'heureux, d'aimer et aimant en retour ?
Je ne sais pas, car je ne sais pas si l'optimisme de mon avenir, me donnerait la liberté de faire les mêmes choix, de faire les mêmes erreurs, ou même simplement de faire certains choix, certaines erreurs. Mais d'un autre côté, à voir mon futur si seul et si triste, aurai-je la force de vouloir malgré tout continuer. Et de tout faire pour changer cette avenir dont je ne veux pas.
C'est bien là, la raison pour laquelle la vie ne veut pas nous laisser la possibilité de voir ce qui nous attend, non pas parce que ce qui nous attend est plus difficile que ce que nous avons déjà passé, mais parce qu'en le sachant, notre vie n'aurait justement plus de sens.
Je ne sais pas, si il m'était possible de voir de quoi serait fait mon avenir, ce que je préfèrerai y voir.
Voudrai-je y voir quelqu'un de seul, pauvre et malheureux,
Voudrais-je y voir quelqu'un d'heureux, d'aimer et aimant en retour ?
Je ne sais pas, car je ne sais pas si l'optimisme de mon avenir, me donnerait la liberté de faire les mêmes choix, de faire les mêmes erreurs, ou même simplement de faire certains choix, certaines erreurs. Mais d'un autre côté, à voir mon futur si seul et si triste, aurai-je la force de vouloir malgré tout continuer. Et de tout faire pour changer cette avenir dont je ne veux pas.
C'est bien là, la raison pour laquelle la vie ne veut pas nous laisser la possibilité de voir ce qui nous attend, non pas parce que ce qui nous attend est plus difficile que ce que nous avons déjà passé, mais parce qu'en le sachant, notre vie n'aurait justement plus de sens.
La seule vie qui ait un sens, c'est celle que nous vivons aujourd'hui.
11 Novembre 2007
à 22h37
-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-
11 Novembre 2007
à 22h37
Situation : Dans mon lit
Pages : 45 à 70
Son entendu en lisant : Rien
Pages : 45 à 70
Son entendu en lisant : Rien
Je poursuis ma lecture en découvrant ce qui est appelé "Le Guide du Sauveur". Ce guide ne semble être que de petites phrases, maximes, mais elles expriment plusieurs choses sur ce qu'est d'apprendre, de faire, d'exister. Nous devrions tous écouter ces questions et y répondre.
" Les questions les plus simples sont les plus profondes.
Où es-tu né ? Où est maison ?
Où vas-tu ?
Que fais tu ?
Réfléchis a ces questions de temps en temps, et observent tes réponses qui changent. "
Je répondrais moi-même à ces questions si vous en avez envie. Mais faites le vous aussi. Après tout si ces réponses changent, c'est parce que nous changons aussi, il vaut mieux savoir, si nous nous changeons en quelqu'un de meilleur, ou non...
Ma page 70 se termine avec de simple mot écrit au bas de la feuille. Qui mieux que moi pourrait comprendre ces mots de meilleure façon ? Qui toucheraient-ils plus que moi ? Qui peut se vanter de mettre un visage sur d'aussi simples mots ?
" Le lien qui t'unit à ta vraie famille n'est pas celui du sang, mais celui du respect et de la joie, dans la vie de chacun des membres.
Il est rare que les membres d'une même famille grandissent sous le même toi "
Notre vrai famille n'est pas celle qui défini des membres par un NOM. Qu'il y est un lien de sang, un lien de passion, la famille que l'on choisit est forcément décidé par un lien du coeur. Elle compose un pacte entre les membres et sa famille, et ce pacte ne s'épuise jamais. Jamais il ne se brise, car la plus belle chose qu'apporte un lien du coeur, c'est la force d'aller de l'avant, et de grandir. N'est pas peur de confier ton coeur à une personne de cette famille, car si tu n'as pas confiance en cette personne, c'est en une partie de toi même que tu n'as pas confiance. Après tout il ne le brisera pas... Car il y tiendra comme à son propre coeur.
Si cet être n'est pas essentiel, alors qui le sera ?
...
" Les questions les plus simples sont les plus profondes.
Où es-tu né ? Où est maison ?
Où vas-tu ?
Que fais tu ?
Réfléchis a ces questions de temps en temps, et observent tes réponses qui changent. "
Je répondrais moi-même à ces questions si vous en avez envie. Mais faites le vous aussi. Après tout si ces réponses changent, c'est parce que nous changons aussi, il vaut mieux savoir, si nous nous changeons en quelqu'un de meilleur, ou non...
Ma page 70 se termine avec de simple mot écrit au bas de la feuille. Qui mieux que moi pourrait comprendre ces mots de meilleure façon ? Qui toucheraient-ils plus que moi ? Qui peut se vanter de mettre un visage sur d'aussi simples mots ?
" Le lien qui t'unit à ta vraie famille n'est pas celui du sang, mais celui du respect et de la joie, dans la vie de chacun des membres.
Il est rare que les membres d'une même famille grandissent sous le même toi "
Notre vrai famille n'est pas celle qui défini des membres par un NOM. Qu'il y est un lien de sang, un lien de passion, la famille que l'on choisit est forcément décidé par un lien du coeur. Elle compose un pacte entre les membres et sa famille, et ce pacte ne s'épuise jamais. Jamais il ne se brise, car la plus belle chose qu'apporte un lien du coeur, c'est la force d'aller de l'avant, et de grandir. N'est pas peur de confier ton coeur à une personne de cette famille, car si tu n'as pas confiance en cette personne, c'est en une partie de toi même que tu n'as pas confiance. Après tout il ne le brisera pas... Car il y tiendra comme à son propre coeur.
Si cet être n'est pas essentiel, alors qui le sera ?
...
- Commentaires textes : Écrire
12 Novembre 2007
à 8h28
à 8h28
Situation : Dans le RER D
Pages : 70 à 118
Son entendu en lisant : Des soupirs, des conversations, le sifflement du train sur les rails
" Discute pour tes limites, et à coup sûr elles sont à toi "
Aujourd'hui nous vivons dans un monde, nous avançons dans ce que certains appellent, leurs destins, ce que d'autres nomment leurs rèves. Nous traînons nos corps, ressentant la fatigue des transports, la lassitude du travail. Que se passerait-il si nous prenions en compte que tout cela n'existe pas ?
Que nos corps ne sont pas une somme d'atomes et de molécules, mais une somme de pensées créées par notre âme, et que notre esprit lie à un corps. Que le temps est une invention de l'esprit pour permettre à l'homme d'excuser ces non-choix, car l'homme remet toujours à plus tard ce qu'il a peur de ne pas réussir. Que l'espace (notre monde) est une création du corps pour lui permettre de se justifier lui même. Et que toutes ces limites que nous nous sommes créées, empèchent notre âme de choisir notre vie, et de vivre en fonction de ce que nous voulons.
Après tout le passage qui suit l'explique également. Fermez les yeux quelques instants. Votre âme créé un monde, il vous appartient donc vous le percevez beau, paisible et calme. Ouvrez maintenant les yeux doucement, et regardez autour de vous, ce monde n'est-il pas moins beau, moins paisible, moins calme ?
Que nos corps ne sont pas une somme d'atomes et de molécules, mais une somme de pensées créées par notre âme, et que notre esprit lie à un corps. Que le temps est une invention de l'esprit pour permettre à l'homme d'excuser ces non-choix, car l'homme remet toujours à plus tard ce qu'il a peur de ne pas réussir. Que l'espace (notre monde) est une création du corps pour lui permettre de se justifier lui même. Et que toutes ces limites que nous nous sommes créées, empèchent notre âme de choisir notre vie, et de vivre en fonction de ce que nous voulons.
Après tout le passage qui suit l'explique également. Fermez les yeux quelques instants. Votre âme créé un monde, il vous appartient donc vous le percevez beau, paisible et calme. Ouvrez maintenant les yeux doucement, et regardez autour de vous, ce monde n'est-il pas moins beau, moins paisible, moins calme ?
" Imagine l'univers : beau, et juste, et parfait.
Puis sois assuré d'une chose :
L'être l'a imaginé infiniment mieux que tu ne l'as fait. "
Puis sois assuré d'une chose :
L'être l'a imaginé infiniment mieux que tu ne l'as fait. "
-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-
Certains me diront que je ne suis qu'un réveur et que la réalité elle même me rattrapera. Mais que connaissez vous de ma réalité ? Après tout votre réalité n'est certainement pas la mienne, la réalité de chacun n'appartient qu'à lui même, et c'est une illusion de croire le contraire. Ma réalité n'appartient qu'à moi-même, comme il existe plus de 6 milliards de réalité dans cette idée spatio-temporelle que notre corps et notre esprit ont créés. Ma réalité me dit que les seules contraintes que je peux vivre sont celles que je m'impose. Et que j'ai le choix d'accepter ces contraintes ou de les refuser. Est-ce si difficile d'accepter que la seule chose qui nous empèche de vivre ce que nous souhaitons, c'est nous même ?
" Le péché originel, c'est de limité l'être : ne le fais jamais. "
" Le péché originel, c'est de limité l'être : ne le fais jamais. "
Vis ta vie comme tu la désires, en empruntant les chemins que as choisi.
Ne contraint pas ton âme à avancer dans un monde limité par des contraintes que tu t'es toi-même fixé. Et que ton âme n'a pas choisi.
...
Ne contraint pas ton âme à avancer dans un monde limité par des contraintes que tu t'es toi-même fixé. Et que ton âme n'a pas choisi.
...
- Commentaires textes : Écrire
13 Novembre 2007
à 9h14 / à 19h57
à 9h14 / à 19h57
Situation : Dans un amphi, en cours / Chez moi
Pages : 118 à 157
Son entendu en lisant : Le prof, les délires de mes potes / Silence
" Chaque personne, les éléments de ta vie, sont là parce que tu les as attirés là
Ce que tu choisis de faire avec eux n'apartient qu'à toi. "
Finalement plus je lis ce livre, et plus j'ai envie d'en écrire un moi-même. Plus je tourne les pages et plus je m'aperçois que les choses que je pense depuis des années et que je n'ose pas dire ressemble étrangement à cette aventure, que seul le décor change. Si j'avais lu tout cela il y a quelques années je n'aurais peut-être pas compris les choses de la même façon, je ne les aurais peut-être même pas comprise du tout. Je suis bien content d'avoir commencé si tard. Comme si je l'avais décidé.
Non, en fait je l'ai décidé. C'est étrange de penser que nous sommes les maîtres de notre destin. C'est étrange d'ailleurs d'associer le mot " destin " (le fait que tout soit écrit), et l'expression " propre maître " (qui choisit)... Car cela montre finalement que nous choississons nous même ce qui est déjà écrit. Libre à nous de choisir de lier une amitié avec une personne ou de ne pas la considérer. Libre à nous de faire tel ou tel chose, puisque nous en sommes maître, puisque nous décidons de quoi en faire.
-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-
" Voici une épreuve pour découvrir si ta mission sur la terre est terminée :
Si tu es vivant c'est qu'elle ne l'est pas. "
Beaucoup d'entre nous se posent des questions sur la mort. Certains en ont peur aussi. A juste raison ou pas, il est habituel de dire que la mort fait partie de la vie, d'ailleurs si la mort n'existait pas la vie n'aurait pas beaucoup de sens. Mais de dire cela n'empèche pas que la perte d'une personne que l'on aime nous fait toujours de la peine.
Mais si " mourir " n'était qu'une étape.
Peut-être que notre corps, n'a plus de raison d'être dans ce monde spatio-temporel quand nous avons appris ce que nous avions à apprendre. Et que l'âme doit simplement en trouver un autre, pour continuer à apprendre de nouvelles choses, et pour enseigner ce que nous savons déjà.
Alors cet " au revoir " que l'on peut prononcer après la mort d'une personne liée à notre coeur, n'est pas une fin. Et tous ces liens ne disparaissent pas, ils sont prêts à renaître, ailleurs, à un autre moment. Jamais deux moments seront identiques, mais chaque moment de nos vies sera accompagné des personnes que nous avons choisies.
" N'ayez point de crainte au moment de l'au revoir, un adieu est nécéssaire avant de pouvoir se retrouver encore. Et ceux qui sont amis sont assurés de se retrouver encore, après des instants, ou des vies. "
Ce que tu choisis de faire avec eux n'apartient qu'à toi. "
Finalement plus je lis ce livre, et plus j'ai envie d'en écrire un moi-même. Plus je tourne les pages et plus je m'aperçois que les choses que je pense depuis des années et que je n'ose pas dire ressemble étrangement à cette aventure, que seul le décor change. Si j'avais lu tout cela il y a quelques années je n'aurais peut-être pas compris les choses de la même façon, je ne les aurais peut-être même pas comprise du tout. Je suis bien content d'avoir commencé si tard. Comme si je l'avais décidé.
Non, en fait je l'ai décidé. C'est étrange de penser que nous sommes les maîtres de notre destin. C'est étrange d'ailleurs d'associer le mot " destin " (le fait que tout soit écrit), et l'expression " propre maître " (qui choisit)... Car cela montre finalement que nous choississons nous même ce qui est déjà écrit. Libre à nous de choisir de lier une amitié avec une personne ou de ne pas la considérer. Libre à nous de faire tel ou tel chose, puisque nous en sommes maître, puisque nous décidons de quoi en faire.
-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-
" Voici une épreuve pour découvrir si ta mission sur la terre est terminée :
Si tu es vivant c'est qu'elle ne l'est pas. "
Beaucoup d'entre nous se posent des questions sur la mort. Certains en ont peur aussi. A juste raison ou pas, il est habituel de dire que la mort fait partie de la vie, d'ailleurs si la mort n'existait pas la vie n'aurait pas beaucoup de sens. Mais de dire cela n'empèche pas que la perte d'une personne que l'on aime nous fait toujours de la peine.
Mais si " mourir " n'était qu'une étape.
Peut-être que notre corps, n'a plus de raison d'être dans ce monde spatio-temporel quand nous avons appris ce que nous avions à apprendre. Et que l'âme doit simplement en trouver un autre, pour continuer à apprendre de nouvelles choses, et pour enseigner ce que nous savons déjà.
Alors cet " au revoir " que l'on peut prononcer après la mort d'une personne liée à notre coeur, n'est pas une fin. Et tous ces liens ne disparaissent pas, ils sont prêts à renaître, ailleurs, à un autre moment. Jamais deux moments seront identiques, mais chaque moment de nos vies sera accompagné des personnes que nous avons choisies.
" N'ayez point de crainte au moment de l'au revoir, un adieu est nécéssaire avant de pouvoir se retrouver encore. Et ceux qui sont amis sont assurés de se retrouver encore, après des instants, ou des vies. "
Si je devais partir, c'est que je n'avais plus rien à faire ici, que j'aurais dit tout ce que je devais dire...
Mes amis ne pleurer pas, car je vous ai choisi, et qu'un simple au revoir
nous amènera dans une autre éternité
Mes amis ne pleurer pas, car je vous ai choisi, et qu'un simple au revoir
nous amènera dans une autre éternité
Il reste une dernière chose à écrire, ces mots les plus important :
" Tout dans ce livre peut-être faux "
...
...
- Commentaires textes : Écrire